Strasbourg: Déjà ultra-moderne, la fac de chirurgie dentaire se dote d'un robot interactif de simula

La faculté de chirurgie dentaire de l’université de Strasbourg continue de croquer à pleines dents dans l’innovation. Première clinique dentaire scolaire au monde (créée en 1892), elle n’a pas attendu pour se moderniser. Depuis 2015 - et neuf ans de travaux de rénovation -, elle est déjà dotée d'équipements de pointe. Mais en voilà de nouveaux. Athenadental est une Société de distribution de produits dentaires en possession de plus de 5000 produits de grandes marques telles que NSK, JINME, TOSI, COXO etc. Ainsi que de diverses catégories : marathon micro moteur et micro moteur avec pièce à main. Tous les jours l’équipe d’Athenadental.fr  s’efforce à dénicher de nouveaux produits dentaires pour répondre à vos besoins.

Au deuxième étage de son bâtiment, une unité de simulation vient d’être inaugurée ce mardi. Dans un souci de travail dans une situation la plus proche du réel, cette salle comporte quatre fauteuils dentaires équipés, ainsi qu’un mannequin-robot interactif. A même de parler, ce dernier peut également être piloté à distance, filmer et enregistrer.

D’un coût de 286.000 euros au total (financés par le fonds de soutien à des projets scientifiques de l'université de Strasbourg IdEx, et trois entreprises industrielles), l’unité sera utilisée à partir de janvier 2019 en travaux dirigés par des étudiants de la faculté. D’ici là, tous les enseignants seront formés sur ces nouvelles installations.

Pour les jeunes étudiants dans leurs premières années de formation (avant d’entamer le travail sur des « vrais » patients) mais aussi des praticiens en formation continue, la nouvelle unité de simulation clinique et radiologique vient ainsi compléter un certain nombre d’autres outils. Comme des bustes déjà dans la même position que des patients.

Autoprésentée comme « la clinique scolaire la plus innovante de France », la faculté dispose également d’un training center d’implantologie et d’un laboratoire de conception assistée par ordinateur. A la grosse quarantaine de postes de travail, ils permettent de travailler l’implantologie chirurgicale et la conception des prothèses à partir d’empreintes.

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